Erratum

Il semble que Frédéric Dutoit ait été accusé par nous mêmes de censure de façon injuste. Nous présentons donc nos excuses au Maire des 15^e et 16^e arrondissements.

Nous en profitons aussi pour renouveler notre question et y ajouter une seconde :

Quelle est la place donnée à MM. Jibrayel et Zéribi, aujourd’hui tous deux comme vous-même soutiens de Jean-Noël Guérini, dans la campagne municipales 2008 ? cette question est posée en raison de votre concurrence aux dernières législatives dans une ambiance peu fraternelle (Tracts injurieux, agression physique de M.Zéribi).

Pouvez-vous nous dire si votre ralliement à la liste de Jean-Noël Guérini et votre retrait dans les 15^e et 16^e (Frédéric Dutoit n’est pas tête de liste) s’explique par un soutien promis par le président de Conseil général pour les prochaines élections sénatoriales où vous êtes pressenti à la succession de Robert Bret ?

Merci par avance pour vos réponses, et nous sommes heureux de corriger nos propos et vous permettre de vous exprimer.

Voir le premier message et le commentaire de Fédéric Dutoit ici

Comments

[Frédéric Dutoit]

En premier lieu, je tiens à vous remercier pour votre erratum, preuve de votre honnêteté. Comme vous le savez je suis ouvert à toute discussion, loin de moi l’idée d’évacuer les questions voire les critiques.

L’année 2007 se termine donc. Elle fut hautement électorale. Je tiens à remercier vivement tous ceux qui, lors des présidentielles et législatives, m’ont fait part de leur soutien et qui sont prêts à continuer le combat avec moi pour les prochaines échéances municipales et cantonales.

Soyez persuadés que j’ai toujours le même objectif : battre la droite et sa politique dans l’intérêt des marseillaises et des marseillais.

Comme je vous l'ai déjà dit, à Marseille, un livre s'est fermé à la suite des résultats des élections présidentielles et législatives. Il faut en tenir compte. Mais quelque chose de nouveau se profile, la droite est plus forte au pouvoir qu'elle ne l'a jamais été. Avec la mise en place des nouvelles lois (franchises médicales, régimes spéciaux de retraite, loi sur l'immigration) on assiste à une politique réactionnaire de droite dure, une politique dont les premières victimes, particulièrement à Marseille, sont les jeunes, les familles, les salariés, les petites et moyennes entreprises, les chômeurs, les retraités d’aujourd’hui et de demain, etc.

Nicolas Sarkozy a été élu largement, et même s’il régresse un peu dans les sondages, il séduit toujours. Il veut faire des villes et des départements des relais actifs pour sa politique désastreuse.

Aussi lors des prochaines élections municipales et cantonales, à Marseille comme cela se fait à Martigues, à Arles, à Aubagne, à Noves, à Septèmes, au Rove, etc. il faut enfoncer le clou du rassemblement le plus large si on veut éviter une nouvelle victoire de la droite. Pour cela il faut créer une dynamique de rassemblement qui dépasse les intérêts partisans et construire tous ensemble un projet répondant aux aspirations des marseillaises et des marseillais. Il faut prendre le pas sur l'idéologie de Sarkozy.

C’est pour cet objectif que je n'ai pas eu d'hésitation à m'engager avec Jean-Noël GUERINI pour gagner Marseille du coté gauche de l’échiquier politique. Pourquoi ? Parce qu’il nous faut être réaliste et prendre acte des résultats des dernières élections : nous ne gagnerons pas seuls ! Parce que nous devons être rassemblé très largement sur un objectif dynamique qui porte haut les idéaux qui sont les notre afin de pouvoir battre la droite. Certes, le changement de politique à Marseille n’est ni garanti ni gagné. Ni sur le contenu ni sur le rassemblement.

Pour ce qui me concerne, je n’ai jamais mené le combat politique contre des personnes mais pour des idées, pour quelles se réalisent en tenant compte de la réalité.

Amicalement

[Frédéric DUTOIT]

Après les élections présidentielles et législatives, je remercie vivement tous ceux qui m’ont fait part de leur soutien et qui sont prêts à continuer le combat avec moi pour les prochaines échéances municipales et cantonales. J’ai toujours le même objectif. Battre la droite et sa politique dans l’intérêt des marseillaises et des marseillais. Comme je vous l'ai déjà dit, à Marseille, un livre s'est fermé à la suite des résultats des élections présidentielles et législatives. Il faut en tenir compte. Mais quelque chose de nouveau se profile, la droite est plus forte au pouvoir qu'elle ne l'a jamais été. Avec la mise en place des nouvelles lois (franchises médicales, régimes spéciaux de retraite, loi sur l'immigration) on assiste à une politique réactionnaire de droite dure, une politique dont les premières victimes, particulièrement à Marseille, sont les jeunes, les familles, les salariés, les petites et moyennes entreprises, les chômeurs, les retraités d’aujourd’hui et de demain, etc. Nicolas Sarkozy a été élu largement, et même s’il régresse un peu dans les sondages, il séduit toujours. Il veut faire des villes et des départements des relais actifs pour sa politique désastreuse. Aussi lors des prochaines élections municipales et cantonales, à Marseille comme cela se fait à Martigues, à Arles, à Aubagne, à Noves, à Septèmes, au Rove, etc. il faut enfoncer le clou du rassemblement le plus large si on veut éviter une nouvelle victoire de la droite. Pour cela il faut créer une dynamique de rassemblement qui dépasse les intérêts partisans et construire tous ensemble un projet répondant aux aspirations des marseillaises et des marseillais. Il faut prendre le pas sur l'idéologie de Sarkozy. C’est pour cet objectif que je n'ai pas eu d'hésitation à m'engager avec Jean-Noël GUERINI pour gagner Marseille du coté gauche de l’échiquier politique. Pourquoi ? Parce qu’il nous faut être réaliste et prendre acte des résultats des dernières élections : nous ne gagnerons pas seuls ! Parce que nous devons être rassemblé très largement sur un objectif dynamique qui porte haut les idéaux qui sont les notre afin de pouvoir battre la droite. Certes, le changement de politique à Marseille n’est ni garanties ni gagnés. Ni sur le contenu ni sur le rassemblement. Pour ce qui me concerne, je n’ai jamais mené le combat politique contre des personnes mais pour des idées, pour quelles se réalisent en tenant compte de la réalité.

[Frédéric DUTOIT]

Après les élections présidentielles et législatives, je remercie vivement tous ceux qui m’ont fait part de leur soutien et qui sont prêts à continuer le combat avec moi pour les prochaines échéances municipales et cantonales. J’ai toujours le même objectif. Battre la droite et sa politique dans l’intérêt des marseillaises et des marseillais. Comme je vous l'ai déjà dit, à Marseille, un livre s'est fermé à la suite des résultats des élections présidentielles et législatives. Il faut en tenir compte. Mais quelque chose de nouveau se profile, la droite est plus forte au pouvoir qu'elle ne l'a jamais été. Avec la mise en place des nouvelles lois (franchises médicales, régimes spéciaux de retraite, loi sur l'immigration) on assiste à une politique réactionnaire de droite dure, une politique dont les premières victimes, particulièrement à Marseille, sont les jeunes, les familles, les salariés, les petites et moyennes entreprises, les chômeurs, les retraités d’aujourd’hui et de demain, etc. Nicolas Sarkozy a été élu largement, et même s’il régresse un peu dans les sondages, il séduit toujours. Il veut faire des villes et des départements des relais actifs pour sa politique désastreuse. Aussi lors des prochaines élections municipales et cantonales, à Marseille comme cela se fait à Martigues, à Arles, à Aubagne, à Noves, à Septèmes, au Rove, etc. il faut enfoncer le clou du rassemblement le plus large si on veut éviter une nouvelle victoire de la droite. Pour cela il faut créer une dynamique de rassemblement qui dépasse les intérêts partisans et construire tous ensemble un projet répondant aux aspirations des marseillaises et des marseillais. Il faut prendre le pas sur l'idéologie de Sarkozy. C’est pour cet objectif que je n'ai pas eu d'hésitation à m'engager avec Jean-Noël GUERINI pour gagner Marseille du coté gauche de l’échiquier politique. Pourquoi ? Parce qu’il nous faut être réaliste et prendre acte des résultats des dernières élections : nous ne gagnerons pas seuls ! Parce que nous devons être rassemblé très largement sur un objectif dynamique qui porte haut les idéaux qui sont les notre afin de pouvoir battre la droite. Certes, le changement de politique à Marseille n’est ni garanties ni gagnés. Ni sur le contenu ni sur le rassemblement. Pour ce qui me concerne, je n’ai jamais mené le combat politique contre des personnes mais pour des idées, pour quelles se réalisent en tenant compte de la réalité. Amicalement